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Le temple Kodai-ji 高台寺 pour l'empereur Toyotomi Hideyoshi

Un superbe temple d'une grande importance historique



Kodaiji est un temple bouddhiste zen fondé en 1605.


Kita no Mandokoro, plus connue sous son surnom de Nene, l'a construit en mémoire de son défunt mari, l'impitoyable daimyo et seigneur de guerre Toyotomi Hideyoshi (1537-1598), l'un des trois unificateurs du Japon durant la période sengoku avec : Oda Nobunaga et Tokugawa Ieyasu.


Hideyoshi est une figure essentielle de l'unification du Japon, après un conflit qui déchira le pays pendant quelque 150 ans. Vous pouvez voir son portrait, à côté de celui de Nene, dans le pavillon principal.

Tokugawa Ieyasu, successeur de Toyotomi Hideyoshi, a supervisé la construction de ce temple, en embauchant les architectes, les peintres et les jardiniers paysagistes les plus renommés de l'époque.





Le lieux offre de multiples occasions de découvrir Kodaiji en soirée. Pendant le mois d'août – époque à laquelle, selon la croyance traditionnelle, toutes sortes de fantômes parcourent les rues – vous y verrez d'étranges peintures sur rouleau illustrant cette légende, sélectionnées parmi la collection du temple.



A ne pas manquer


De somptueuses illuminations nocturnes spéciales sont proposées au printemps et lors du hanami, en été et en automne pour momiji gari.

Trois salons de thé rustiques tous conçus par Sen no rikyu, qui est salué comme le père de la cérémonie du thé chanoyu, sont également à découvrir.





Le temple Kodaiji est idéalement situé près de certaines des plus belles rues de Gion, dont l'allée Ishibei-koji ainsi que les rues Ninen-zaka et Sannen-zaka.

Le sanctuaire de Yasaka et le temple Kiyomizudera sont également facilement accessibles depuis Kodaiji.



Comment s'y rendre ?


Facilement accessible en bus depuis la gare de Kyoto :

Prenez le bus 206 à la gare de Kyoto et descendez à l'arrêt Higashiyama Yasui. Le temple Kodaiji est alors à 10 minutes à pied. Le bus 207, qui emprunte l'avenue Shijo, s'arrête également à Higashiyama Yasui.




Sophie Roche



 




Sources : JNTO, flickr, wikiCommons.

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